mardi 4 février 2014
Permaculture – Récolte pommes de terre octobre 2013
Non désherbées de la saisons.
Récolte facile à la main, paille assez décomposée.
Les anciennes routes ont déjà fait place pour les salade d’hivers.
Diaporama Automne 2013
Un diaporama sur les « travaux » automnales.
- Cueillettes des cucurbitacées, des pommes, des coings et des dernières framboise.
- Rentrer les fleurs pour les protéger du gel (géranium).
- Étalage du compost et de feuilles dans les jardins et serres.
- Et une ballade dans le terrain.
- Cueillettes des cucurbitacées, des pommes, des coings et des dernières framboise.
- Rentrer les fleurs pour les protéger du gel (géranium).
- Étalage du compost et de feuilles dans les jardins et serres.
- Et une ballade dans le terrain.
Bon visionnage et à bientôt.
Construction d’une serre de 26 m2 pour 250€
Fabrication d’une serre pour 250 €.
Arceaux en fer T : 50 € les 6, 4 seulement utilisés pour la serre
Gaines de protection misent sur les fer (le t est vers le haut) pour protéger la bâche acheté à bricodépôt;
Bâche sur mesure avec bourrelet pour corde de tension 170 €;
Et du bois de récupération passé à la machine à bois.
Cultiver en permaculture : sol non travaillé, paillage paille et tonte, pas de désherbage.
Résultat : salades, poivrons, tomates (mangées tous les jours et 40 litres de coulis).
Diaporama Festival des vers solidaires 2013
Théâtre LE PETIT BOUFFON, « Un billet pour Cayenne » PROLONGATIONS
Etant donné le succès de la pièce, qui affiche complet tous les samedi de janvier, des prolongations auront lieux, tous les vendredis et samedis, jusqu’au 15 février.
Venez nombreux!!
Théâtre LE PETIT BOUFFON, « Un billet pour Cayenne »
Venez vous divertir en venant voir cette comédie co-écrite par Patricia Smorag (ma femme) et La Compagnie du Millempart et pour Laquelle j’ai participé aux décors !
Calculer votre empreinte écologique
Cliquez sur le bouton ci-dessous pour calculer sur le site de la cité des sciences!
A quoi ressembleraient nos supermarchés sans les abeilles ?
Comme souvent, une seule photo peut être plus parlante que de longs rapports. Dans une communication efficace, la chaîne de supermarchés américaine Whole Foods, spécialisée dans le bio et l’équitable, a imaginé à quoi ressembleraient nos étals si les abeilles venaient à s’éteindre. L’un de ses magasins, situé à Providence (Rhode Island), a temporairement enlevé tous les produits venant de plantes pollinisées par des abeilles et autres insectes pollinisateurs. Résultat : 237 des 453 produits proposés à l’accoutumée, soit 52 % des récoltes, ont disparu. Parmi eux : les pommes, oignons, carottes, citrons, brocolis, avocats ou encore concombres.
En réalité, un tiers de notre nourriture dépend des abeilles, rappelle l’enseigne de distribution. « Les pollinisateurs naturels sont un maillon essentiel de notre chaîne alimentaire. Plus de 85 % des espèces végétales de la terre, dont beaucoup composent les aliments les plus nutritionnels de notre alimentation, exigent des pollinisateurs pour exister. Pourtant, nous continuons à assister à un déclin alarmant de ces populations, regrette Eric Mader, directeur adjoint de la Xerces Society, une ONG qui protège les abeilles. Notre organisation travaille avec des agriculteurs pour les aider à recréer un habitat sauvage et adopter des pratiques moins intensives en pesticides. Ces stratégies simples peuvent faire pencher la balance en faveur de retour des abeilles. »
Près d’un tiers des colonies d’abeilles aux Etats-Unis ont été décimées au cours de l’hiver 2012-2013, selon une étude réalisée par le ministère de l’agriculture américain et des associations professionnelles, publiée le 7 mai, qui souligne aussi les conséquences « désastreuses » pour une économie du miel qui pèse 30 millions de dollars outre-Atlantique.
Si les autorités américaines évoquent des raisons multiples, comme « les parasites, les maladies, les facteurs génétiques, une mauvaise nutrition et l’exposition aux pesticides », cette dernière est majoritairement citée par les scientifiques pour expliquer la surmortalité des pollinisateurs domestiques et sauvages (bourdons, papillons, abeilles sauvages, etc.).
L’Union européenne a ainsi annoncé, le 29 avril, la suspension pour deux ans, à compter du 1er décembre, de l’utilisation de trois insecticides impliqués dans ce déclin. Ces molécules, l’imidaclopride, le thiaméthoxame et la clothianidine appartiennent à la famille des néonicotinoïdes, insecticides parmi les plus utilisés au monde en agriculture et que l’on retrouve dans des dizaines de produits tels le Cruiser, le Gaucho, le Poncho ou le Cheyenne.
L’application de cette interdiction ne sera pas évidente tant ces substances persistent dans l’environnement, comme je l’avais expliqué dans un précédent papier. Mais elle est essentielle si l’on veut éviter de connaître la même réalité qu’en Chine, abordée par l’excellent documentaire Des abeilles et des hommes, où des milliers de paysans pollinisent les fleurs à la main, à partir de pollen qui leur est envoyé d’autres régions où les butineuses vivent encore.
Audrey Garric (http://ecologie.blog.lemonde.fr)
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